Je me suis portée volontaire dans mon ancien service de réa
Fatma, infirmière de réanimation
Les gardes sont plus lourdes, les patients plus graves et il faut penser à « soi » (se protéger) avant « l'autre » (le patient). Voir la peur dans les yeux des plus jeunes d'entre nous : c'est dur ! Les bons côtés : on est plus unis, et les réveils réussis des patients... Comme formatrice, je retiens l'importance du « facteur humain », du defusing à chaud et que pour bien former les autres, il faut continuer à avoir une activité clinique.